Cinq mois se sont écoulés durant lesquels les impôts fonciers ont été réglés tout à fait légalement par la société Roume-Boufflers propriétaire. Aujourd'hui madame Boissier Palun, gérante de ladite société, se manifeste. Elle vient d'écrire aux trois maires ainsi qu'au préfet de la Dordogne pour leur faire part de son étonnement et de son mécontentement d'une telle démarche non fondée.
Un nouveau revers pour les trois maires qui se voyaient déjà se partager les terres avec les propriétaires du château. Désormais il reste aux administrés des trois communes à régler, à nouveau, les frais d'avocat et à tous ceux qui s'étaient un peu précipités pour occuper des terres, qu'ils pensaient vacantes, à reconsidérer la situation.
Tout est clair, nous n'avons cessé de le proclamer depuis le début de cette procédure il y a deux ans déjà, les 42 hectares, constituant ce que nous appelons le parc du château, appartiennent à une société parfaitement déclarée dont la gérante est parfaitement identifiée. Ce parc est un bien privé avec toutes les conséquences qui en découlent.
Pour être dans la légalité les propriétaires du château vont donc devoir réaménager un accès à l'édifice et créer un parking sur les deux hectares qu'ils possèdent.
Les coprésidents.
Chère Madame, cher Monsieur,
RépondreSupprimerVous dites que, pour être dans la légalité, le propriétaire doit faire construire un parking dans les abords de son château. Je révise le droit du patrimoine afin de passer le concours de conservateur et j'aurais aimé savoir si vous pouviez me renseigner sur la loi qui impose cela.
Veuillez recevoir, chère Madame, cher Monsieur, ma plus grande admiration et mon plus sincère soutien pour votre combat